novembre 03, 2012

Bailly Lapierre brut Crémant de Bourgogne


(+11565015. 23,80$)

 
Parfait en toute occasion, pour souligner un succès, une réussite, la fin d’une journée agréable, ou tout simplement pour l’amour des bulles, ce mousseux à la robe dorée a des reflets légèrement rosés apportés par la macération des peaux du pinot noir utilisé pour son élaboration. En bouche, ses bulles sont fines et il nous offre des aromes de pomme verte et de croustade qui perdurent de manière surprenante. Servez-le à l’apéro, ou pour accompagner une entrée d’huitres fraîches.
 
 
Cépage : pinot noir

octobre 27, 2012

Grenache Yalumba Bush Vine Barossa 2011


(+902353, 19,95$)

Ce rouge australien à la robe dense presque opaque et aux reflets violacés, nous offre un nez puissant et complexe où les arômes de violette, d’épices et de myrtilles côtoient le café moka et le chocolat noir. En bouche, le fruit est persistant et le vin évoque des notes de torréfactions en rétroolfaction. Ses tannins sont enrobés et une acidité soutenue lui apporte une belle fraîcheur malgré sa puissance. Il accompagnera à merveille vos viandes rouges braisées en sauce épicée ou chocolatée.
 
 
Cépage : grenache

octobre 20, 2012

Rolet Père et Fils vin jaune Arbois 2003

(+880872, 57,25)

 

Arborant une robe caractéristique dorée et brillante, ce vin jaune doit être apprivoisé pour être apprécié. Au nez, des arômes de fruits secs et d’amandes grillés côtoient la noix de Grenoble représentative de ces vins du Jura. On peut également percevoir des notes franches de champignons, de caramel et de beurre rance, ainsi que des effluves herbacés, signe de la jeunesse de ce vin, qui atteindra son apogée dans les années 30. En bouche, il est marqué par une acidité omniprésente qui lui confère toute sa fraîcheur, sa texture est très grasse et des notes d’agrumes s’intègrent à la noix qui, puissante, domine le tout. En toute simplicité, il se mariera à merveille avec un fromage de comté accompagné de noix de Grenoble, ou à des poissons en sauce crémée au vin blanc. Pour un accord gastronomique typiquement franc-comtois, on le servira avec un coq au vin jaune et aux morilles. Ouvrez la bouteille un jour avant sa consommation et vous pourrez profiter pleinement de toute la richesse de ce produit qu’on appelle aussi “l’or jaune du Jura”.

Cépage : savagnin

octobre 13, 2012

Santagostino Baglio Soria i.g.t. Sicilia 2010



(+10327605, 20,95$)

 

La maison Firriato nous offre ici un vin d’un rouge profond aux reflets violacés, au nez marqué par des arômes de baies sauvages, de girofle et de muscade, auxquels s’intègrent harmonieusement des notes de romarin, de thym et d’encre, ainsi que des effluves anisés des plus charmants. En bouche, il est suave et intense tout à la fois, et ses tannins sont fins et soyeux. Il accompagnera à merveille une lasagne traditionnelle, ou des côtelettes de porc nappées d’une sauce à la prune et au poivre.
 
cépages : nero d’avola 50%, syrah 50%

octobre 06, 2012

Palazzo della Torre i.g.t. Veronese 2009

 

(+907477, 24,95$)

 
La maison Allegrini nous offre ici un rouge à la robe foncée, aux reflets pourpres, élaboré selon la technique ripasso en utilisant la méthode appassimento. Le nez, tout en finesse, est marqué par des effluves de cerise noire et de prune, auxquelles s’intègrent des notes végétales rappelant les herbes fraiches comme le romarin et le thym, ainsi que des arômes de muscade et de chocolat noir. En bouche, le vin est très intense, ses tannins sont souples et sa texture est bien ronde, le tout se terminant sur une finale persistante empreinte d’une bonne amertume où le chocolat noir à la cerise prend le dessus. Servez-le marié à de l’agneau braisé au romarin ou à un veau marsala pour un succès garanti!


Cépages : corvina 70%, rondinella 25%, sangiovese 5%

septembre 29, 2012

Château Ksara réserve du Couvent 2010

(+443721, 15,10$)

 
Ce rouge à la robe violacée, très dense, de la vallée du Beeka au Liban, nous offre nez marqué par des arômes de cassis et de bleuets bien mûrs, auxquels s’ajoutent des parfums de poivre, de girofle, et de bois, ainsi qu’une pointe d’anis étoilé qui vient y ajouter une fraîcheur des plus intéressantes. En bouche, la fraicheur persiste, les tannins sont francs, le fruit et les épices se fondent en une finale assez persistante se terminant sur des notes de poivre noir et de fer. Il se mariera parfaitement à vos rôtis de boeuf, surtout si vous les piquez à l’anis, au girofle et au poivre noir. Préparez une sauce au fond de veau en déglaçant les sucs de cuisson avec le même vin, puis en y ajoutant les épices piquées dans la pièce de viande, et le tout sera absolument sublime!
 
 
 
Cépages : syrah 40%, cabernet-franc 30%, cabernet-sauvignon 30%

septembre 22, 2012

Château Fuissé Tête de cru Pouilly-Fuissé 2009

 

(+11330101, 28,55$)



Symbole d’élégance, de finesse et de puissance, typé à souhait, ce vin élaboré par la famille Vincent se positionne avantageusement bien dans la lignée des grands blancs de l’appellation. D’un jaune pâle aux reflets verts, il nous dévoile un nez vif aux arômes de pommes vertes et de citron, auquel s’ajoutent des notes de beurre, d’amandes grillées et de noisettes fumées apportées par la chauffe moyenne des barriques utilisées pour son élevage. En bouche, le vin est opulent, intense, d’une richesse et d’une harmonie remarquable, et sa franche minéralité contraste parfaitement avec la texture grasse de ce bourguignon d’un classicisme des plus nobles. Les plus chanceux se permettront de le faire vieillir encore quelques années. Il accompagnera cependant à merveille un brie fondant aux noix de pins, un homard au beurre-noisette, ou des pâtes crémeuses aux fruits de mer, poireaux et amandes rôties, si un désir de réconfort vous prend en ce premier weekend d’automne.


Cépage : chardonnay 100%

septembre 18, 2012

Montalto 2010

 
Photo : Merlot Montalto Collezione di Famiglia 2010 (11676794, 16,95$)

Ce Sicilien à la robe rouge très dense, presque encre, a des reflets pourpres des plus envoûtants.  Au nez, il nous charme par sa complexité, on perçoit des arômes de fruits rouges séchés, de prune, de mûre, auxquels se mêlent des notes de sous-bois, dans un bouquet épicé à souhait.  En bouche, le fruit explose, le vin est tout en amplitude, et les tannins enrobent la cerise confite et le fin boisé qui vient équilibrer le tout.  Parfait avec des pâtes aux portobellos, noix de pin grillées et tomates séchés, il sera tout indiqué avec une pizza aux tomates fraîches, aubergines sautées et champignons, cuite au BBQ.

Cépages : 100% merlot
 

 
Merlot Montalto Collezione di Famiglia 2010 (11676794, 16,95$)

Ce Sicilien à la robe rouge très dense, presque encre, a des reflets pourpres des plus envoûtants. Au nez, il nous charme par sa complexité, on perçoit des arômes de fruits rouges séchés, de prune, de mûre, auxquels se mêlent des notes de sous-bois, dans un bouquet épicé à souhait. En bouche, le fruit explose, le vin est tout en amplitude, et les tannins enrobent la cerise confite et le fin boisé qui vient équilibrer le tout. Parfait avec des pâtes aux portobellos, noix de pin grillées et tomates séchés, il sera tout indiqué avec une pizza aux tomates fraîches, aubergines sautées et champignons, cuite au BBQ.

Cépages : 100% merlot

juillet 19, 2012

Domaine Mule Blanche 2010

  
Cette semaine, je vous présente en primeur un très grand vin, représenté au Québec par l'agence LBV International.  Issu des cépages Marsanne(50%) et Roussanne(50%), il nous rappelle à l'aveugle les plus grands vins blancs de Bourgogne. En effet, visuellement, nous retrouvons un vin jaune aux reflets or qui démontrent l'ampleur de la matière de ce vin. Olfactivement, des notes de beurre, de fleurs blanches, et de calcaire nous dévoilent un vin à la fois très fin et très complexe. En bouche, la rondeur de ce vin est incroyable, nous révélant des notes de noix, en plus des arômes perçus à l'olfaction.

Le Crozes Hermitage de la maison Jaboulet n'effectue aucun vieillissement en barrique de chêne et c'est la maturation sur lie qui apporte autant de complexité. Comme je vous l'ai écrit, il s'agit d'un très grand vin qui se compare aisément à des Chassagnes-Montrachet à 60$ et plus. Il est disponible en quantité limitée à la SAQ au prix de 34.75$ la bouteille. Je vous invite donc à consulter le site internet de la SAQ sa disponibilité.
 
Luc Gilbert

février 02, 2012

Dégustation de rêve (2ième partie)


Je suis de retour cette semaine avec la deuxième partie de la dégustation de rêve réalisée durant la période des fêtes. J’ai l’honneur et le plaisir de vous décrire 3 des plus grandes  réalisations vinicoles de cette planète.

Château Cheval Blanc Saint-Émilion premier grand cru classé A 1989
Après avoir dégusté rien de moins que le château Ausone, c’est le château Cheval Blanc qui nous attendait. Nous avions beaucoup d’attentes face à ce cru et nous étions quelque peu anxieux de le découvrir. Nous en avions tellement entendu parler…
De couleur rouge foncé légèrement ambré, nous avons remarqué d’entrée que le vin avait vieillit à merveille. En effet, l’olfaction nous a démontré que le vin serait extrêmement généreux avec nous. Des arômes primaires de fruits noirs étaient encore bien présents, entourés de notes de sous-bois, champignons sauvages  et de poivron rouge. Le bois est intégré à la perfection, quoique nous nous attendions à cette qualité. En bouche, quelle surprise… Une attaque encore bien présente, fringante, riche et plus qu’équilibrée.  Signature d’une très grande maison! Et la longueur… vraiment impressionnant! D’une suavité exceptionnelle, elle perdura jusqu’à la prochaine bouchée de notre repas. Ce vin était tout simplement parfait et vraiment à la hauteur de nos attentes. Le prochain cru devait donc nous en mettre plein la vue !

Château Mouton Rothschild 1989 premier cru classé
Nous changeons de rives pour ce cru. En effet,  les 2 premiers vins provenaient de la rive droite, avec leur concentration de merlot,  tandis que  le château Mouton Rothschild de l’appellation Pauillac est situé sur la rive gauche dans le Haut-Médoc et présente, comme principale cépage,  le cabernet-sauvignon.
À première vue, il était évident que nous aurions un vin beaucoup plus intenses que ceux dégustés auparavant. De couleur rouge foncé presque encre avec un léger reflet cuivré, ce grand cru a su défier et modifier le temps à sa guise. Il était presque impossible de prédire l’âge du vin. Au nez, des arômes de fruits noirs (cassis), de cuir, de fer, de tabac et d’épices étaient perceptibles. Des arômes de café légèrement torréfié sont dus au vieillissement en barrique de chêne. Nous avions devant nous un vin extrêmement complexe et très intriguant. En bouche, nous avions les mêmes arômes que ceux perçus à l’olfaction. Les fruits étaient encore présents, enrobés par le cuir et le côté sanguin du vin. Les tannins étaient soyeux et très délicat.
Un vin puissant, équilibré à souhait qui nous a surpris puisqu’il aurait pu encore vieillir quelques années. La composante sanguine de nos filets mignons était en accord parfait avec les tannins et les composantes animales et cuir du vin. Ajoutez quelques épices sur votre viande et vous aurez un accord moléculaire digne de ce nom!
Je comprends maintenant mieux mon professeur de sommellerie qui m’affirmait qu’un grand Bordeaux peu vieillir 25 ans et plus dans ses meilleures années. Parlant de vieillissement, le prochain vin est certainement le doyen parmi ses confrères. En effet, le château d’Yqem, dans ses meilleures années, peut vieillir plus de 35 ans.

Château d’Yqem 2004 premier cru supérieur
Que dire de ce Sauternes premier cru supérieur! Une merveilleuse idée de notre ami que d’apporter ce vin en dessert. Bien que jeune, il nous a offert ce à quoi nous nous attendions. C’est-à-dire concentration, richesse, intensité des arômes, équilibre et je manque de mot pour décrire tout ce que je ressens. D’une belle couleur jaune or aux reflets très brillants, ce nectar a tout pour épater la galerie. Aux arômes de miel, cire d’abeille, d’abricot, on peut deviner facilement son taux élevé de sucre. En bouche, l’acidité vient balancée à merveille le gras et l’opulence du château Yqem.  Pour reprendre l’expression d’un vieil ami, «  C’est de la soie liquide!» Et oui, il n’arrive que rarement aux sommeliers de dégusté l’élite des vins de Bordeaux.  J’ai vécu une expérience mémorable et le plus important est que j’étais entouré de gens exceptionnels!

Bonne semaine à tous!
Luc Gilbert

janvier 23, 2012

Dégustation de rêve!!



Dans l'ordre de gauche à droite: Chassagne-Montrachet "les Caillerets" de Jean-Noël Gagnard 2005, Château Ausone 1993, Château Mouton Rothschild 1989, le Cheval Blanc 1989 et finalement le Château d'Yqem 2004 

Durant la période des fêtes, j’ai eu la chance, avec 4 amis, de faire une dégustation de premier cru de la région de Bordeaux. En effet, nous préparions cet événement depuis quelques temps déjà et nous avions enfin réussi à tout orchestrer en allant manger au restaurant À l’Os de Montréal. Histoire de se dégourdir les papilles, nous avons commencé, par le Chassagne-Montrachet "les Caillerets" de Jean-Noël Gagnard 2005. Nous avons suivi cette soirée avec un château Ausone 1993 tout en finesse. Ensuite, c’est l’extase.   Le cheval Blanc 1989 premier grand cru classé A de Saint-Émilion et le fameux Mouton Rothschild de millésime 1989 se tiennent encore debout tel de vieux charpentiers. Une surprise nous attendait pour la finale : Château d’Yqem 2004!  Il faut comprendre qu’il n’arrive pas souvent aux sommeliers de dégusté ces produits et sont considérés par la plupart d’entre eux comme le saint graal!  Je vais tenter de vous décrire les sensations perçues et discutées durant ce repas. Nous avons, dès notre arrivé sur place, ouvert tous les vins présents pour cette soirée. Sans les décanter, nous avons attendu un minimum de 15 minutes après service avant de déguster le vin.
L'entrée, Chassagne-Montrachet "Les Caillerets" 2005 de Jean-Noël Gagnard
Issu de chardonnay, il nous dévoila toute sa richesse au premier coup d’œil. De couleur jaune paille et d’une richesse olfactive surprenante, allant des agrumes bien mûr, en passant par le silex pour se terminer par de fines notes de bois. En bouche, il resta fidèle aux arômes perçus à l’olfaction en y ajoutant une agréable fraicheur, une touche de beurre et d’amande. Jean-Noël Gagnard nous présenta encore une fois un vin d’une belle onctuosité, d’une longueur en bouche exemplaire et  équilibré à souhait. Il faut dire que le millésime 2005 en Bourgogne, où la pluviométrie fut presque nul, est considéré « exceptionnel par plus d’un ». Finalement, ce Chassagne-Montrachet fût le parfait complice de nos entrées de poissons et nous prépara pour le Château Ausone.  
Le Château Ausone 1993, Saint Émilion premier grand cru classé A
Nous étions tous impatients face à notre première dégustation de ce cru. Le premier regard nous apporta certains indices sur l’évolution de la bouteille. En effet, nous avons dans nos verres un vin de couleur rouge ambré, presque brique. Signe que le vin est dans un âge avancé de sa vie. Au nez, de fines arômes de cassis, d’humus, de feuilles mortes et de fougère suivis par des nuances de cigare et de bois. Après cette brève analyse visuelle et olfactive, nous espérions que l’acidité du produit soit balancé, puisque nous ne nous attendions pas à beaucoup d’agressivité. Nous avions déjà compris que la bouteille avait déjà beaucoup évoluée. Et maintenant, il est temps de passé aux sérieux. En bouche, quelle surprise! Un vin balancé à la perfection tout en finesse. Et quelle longueur! Nous avons retrouvé en bouche les mêmes arômes perçus auparavant incluant des notes de champignons sauvages et de chocolat.  Le seul bémol, le vin était légèrement trop évolué et présentait moins de fruits qu’espéré. Mais nous avions prévu le coup en le dégustant en premier laissant place au vin avec plus d’intensité. La suite avec la fameux Cheval Blanc 1989 lors de notre prochaine parution.
Bonne semaine à tous
Luc Gilbert
à suivre...

janvier 19, 2012

Le Charlevoix gastronomique

Durant ce magnifique temps des fêtes, mon horaire  très chargé m’a permis d’aller visiter Baie Saint-Paul et la Malbaie dans la région de Charlevoix. Me promenant dans les rues avec curiosité et bénéficiant pour une rare fois d’une journée de congé, j’ai pris le temps de m’immerger de la mentalité de l’endroit et de constater à quel point la région regorge d’artistes et de créativité. En effet, Omerto(www.domainevb.ca) une entreprise située à Baie Saint-Paul fabrique le premier vin apéritif de tomate au monde! Très intéressant dans l’optique où ce produit sera le parfait compagnon du chef cuisinier. La cidrerie Pedenault(www.vergerpedneault.com), située sur L’Ile au coudre, n’est pas en reste avec une production de plus de 20 différents produits conçus à partir de la pomme ou de petits fruits tels que la prune ou les petites poires. Oui, je vous le disais, la région est très créative…
Mon périple m’a ensuite dirigé vers les restaurants de la Malbaie. Arrivé sur place, nous nous sommes dirigés vers le restaurant Le Patriarche qui nous fut référé par plusieurs amis et classé le numéro 1 des restaurants de la région sur plusieurs sites web. Le restaurant était malheureusement fermé pour la saison, mais les propriétaires nous ont gentiment référé  un autre restaurant de la région, le Grillade La Bohème. Arrivé sur place, je constate  un restaurant de type  western, très chaleureux où les serveurs portent fièrement le chapeau de cowboy! En effet, c’est le « steak house » par excellence de la région de Charlevoix. Loin de Montréal, ce restaurant m’a réconforté autant par son service chaleureux et très personnalisé que par sa cuisine québécoise typée.  Il faut dire que nous sommes envahis, dans notre métropole, par la cuisine française et son service courtois. Bien que je n’aie rien contre ce style de restaurant, au contraire, mais quelque fois un service convivial nous rapproche de nos origines. Un petit mot sur la carte des vins, bien qu’elle soit limitée,  on y retrouve une très belle sélection, à bon prix, et tout à fait de propos pour le type de repas servis. En effet, j’ai dégusté le chardonnay sans-bois de Wayne Gretzky wineyard en Ontario et le Contra de Bonny Donn wineyard de la Californie. Deux vins disponibles dans la section des spécialités des succursales SAQ. Finalement, au cas où vous décideriez de visiter la Malbaie, voici l’adresse du fameux steak house: www.grilladelaboheme.com

De très belles découvertes dans la région de Charlevoix!
Bonne semaine à tous

Luc Gilbert
Sommelier